L’éphémère peut-être compris de deux façons : ce qui ne dure que peu de temps et ce qui suit un cycle éternel d’apparition et de disparition. Le premier que l’on nommera « temporaire » est employé à des fins consuméristes, le second invite à se détacher des choses matérielles. Aujourd’hui, nos besoins évoluent avec une rapidité croissante, le bâti devient rapidement obsolète et les ressources disponibles s’épuisent dangereusement. Ce mémoire explore la place de l’éphémère et non du temporaire dans l’architecture et détermine si l’on peut mettre à profit sa flexibilité et son essence poétique pour créer des aménagements plus durables.
Laisser place à l’éphémère dans l’espace
L’éphémère peut-être compris de deux façons : ce qui ne dure que peu de temps et ce qui suit un cycle éternel d’apparition et de disparition. Le premier que l’on nommera « temporaire » est employé à des fins consuméristes, le second invite à se détacher des choses matérielles. Aujourd’hui, nos besoins évoluent avec une rapidité croissante, le […]