L’air tend à devenir un élément toxique annonceur d’un futur apocalyptique.

L’humanité se doit de repenser ses habitudes quotidiennes et en particulier vestimentaires face à cet environnement nocif. Elle est contrainte d’utiliser un masque-filtre créant une frontière protectrice entre le corps et l’environnement. L’usage systématique de ce masque entraine une évolution de son vestiaire quotidien. Peu à peu le masque envahit le corps, la peau et le vêtement se rencontrent, s’entremêlent, se répondent. Le corps mute, se développe au travers d’une peau-filtre, dernière frontière entre le corps et l’air.