Nous utilisons au quotidien des services numériques dont les interfaces simplifiées en facilitent l’usage. Favoriser l’aspect pratique de ces services implique de masquer leur fonctionnement. Or, ce système d’échange de services contre des données personnelles, s’empare de celles-ci pour nourrir une économie des datas.
Le mouvement émergeant du « Self Data » initié par la FING* propose aux usagers d’accéder, d’exploiter et de contrôler leurs données personnelles. Dans ce contexte, Domestic Data permet de prendre le contrôle de nos données au travers d’expériences sensibles, interactives et intuitives.
Lorsque nous consultons un site ou naviguons sur une application, Domestic Data représente en surimpression les données échangées comme des organismes que pouvons laisser s’échapper ou retenir pour orienter leurs finalités et conditions d’utilisation.
Un totem centralisant nos données en un objet dédié dans l’habitat, signale de façon colorée l’état de nos flux de données et projette sur nos objets connectés une interface de contrôle gestuel.
* Fondation Internet Nouvelle Génération.