Révéler l’autrement d’un même lieu et créer de l’insolite.
Appréhender la station de métro fantôme Molitor à Paris avec un regard décalé. Transformer les usagers du métro traditionnel en arpenteurs, pour découvrir la poésie d’espaces a priori ordinaires, mais qui recèlent néanmoins de nombreuses facettes cachées, comme les anciennes carrières de pierres semi-précieuses de la capitale du XVIIIe siècle.
C’est par le biais d’un partenariat fictif mené avec le joaillier parisien Lorenz Bäumer qu’une scénographie est pensée pour évoquer ces éléments oubliés. Celle-ci suggère sous la forme d’un cheminement sensible, le façonnage de ces pierres, de leur aspect le plus brut à celui le plus ciselé.