« Vivre-ensemble » et « cohabitation » sont des termes souvent utilisés dans nos politiques sociales.
Cependant, si des hébergements d’urgence sont proposés aux personnes se trouvant en situation de précarité, les relations humaines sont parfois négligées. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de faire un lieu dortoir, mais d’accompagner ceux et celles qui ont perdu tout repère.
C’est dans cette optique que la Maison des Amies du Monde accueille des jeunes mères en déshérence et cherche à proposer une cohabitation harmonieuse entre ses protégées. Inexistants dans le projet initial, les lieux d’accueil et de partage de vie seront particulièrement développés. L’idée est de permettre à la fois aux jeunes femmes de s’isoler pour ne pas être confrontées au groupe, ou au contraire de se réunir pour s’épauler et se reconstruire.